La Présence m’a serrée dans son carquois Une flèche d’or pour le sacre de l’oiseau Couronne mes enchantements Céleste, Je garde les lieux.
La Présence m’a serrée dans son carquois Une flèche d’or pour le sacre de l’oiseau Couronne mes enchantements Céleste, Je garde les lieux.
La Présence m’a serrée dans son carquois Une flèche d’or pour le sacre de l’oiseau Couronne mes enchantements Céleste, Je garde les lieux.
La Présence m’a serrée dans son carquois Une flèche d’or pour le sacre de l’oiseau Couronne mes enchantements Céleste, Je garde les lieux.
La Présence m’a serrée dans son carquois Une flèche d’or pour le sacre de l’oiseau Couronne mes enchantements Céleste, Je garde les lieux.
La Présence m’a serrée dans son carquois Une flèche d’or pour le sacre de l’oiseau Couronne mes enchantements Céleste, Je garde les lieux.
Témoignages
"
« La voie est une, les chemins sont multiples ; il y a les chemins de terre, de terres promises, faites d'exil et de retours ; il y a les chemins de mers, de tempêtes, de naufrages et d’îles aux trésors incertains; il y a les ascensions célestes, les envols et les chutes icariennes, mais aussi l’Assomption sans retour ; il y a les chemins de feu où le voyageur est consumé sur place ou renaît de ses cendres, tel le Phénix, laissant à la nuit sa provision d’éclairs. Autant de métaphores à penser et d’aventures à vivre, pour aller, au-delà de ce qui nous enferme, nous clotûre, sans jamais pouvoir nous contenir, vers "l’Échappée belle" du psychisme ou de l’âme qui, dans l’adhésion à ses limites, s’est ouverte à ce que la mort ne saurait définir. » Jean-Yves Leloup
« La voie est une, les chemins sont multiples ; il y a les chemins de terre, de terres promises, faites d'exil et de retours ; il y a les chemins de mers, de tempêtes, de naufrages et d’îles aux trésors incertains; il y a les ascensions célestes, les envols et les chutes icariennes, mais aussi l’Assomption sans retour ; il y a les chemins de feu où le voyageur est consumé sur place ou renaît de ses cendres, tel le Phénix, laissant à la nuit sa provision d’éclairs. Autant de métaphores à penser et d’aventures à vivre, pour aller, au-delà de ce qui nous enferme, nous clotûre, sans jamais pouvoir nous contenir, vers "l’Échappée belle" du psychisme ou de l’âme qui, dans l’adhésion à ses limites, s’est ouverte à ce que la mort ne saurait définir. » Jean-Yves Leloup